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"- La pratique régulière du Taichi Chuan m'apporte bien-être, équilibre, il renforce les muscles tout en permettant de relâcher la tension. J'apprends la patience et la persévérance. Petit à petit, je mémorise la forme et je prends conscience de ma place au milieu des autres pratiquants. Ma vision s'élargit, je marche différemment... Bref, c'est un réel plaisir."
" Cela fait 45 ans que je suis dans la performance. Cependant la compétition de javelot n'a jamais été une fin en soi, la recherche de la performance, le dépassement de soi ont toujours été inscrits dans un ensemble. A l'instar des 5 Éléments qui forment le cycle Cheng et le cycle Ko, le Yin et le Yang, mon approche de la compétition était incluse dans un "tout".
Ainsi je l'ai enrichie de sophrologie, de règles de nutrition et d'hygiène de vie. Mais aussi de pratiques complémentaires comme le Kyudo (hélas très peu pratiqué), la culture des bonsaïs, d'initiation à l'aïkido et au kendo et je me suis formé au shiatsu traditionnel.
Le Tai Chi Chuan m'attirait aussi mais je n'avais pas eu l'opportunité de l'approcher. Je n'ai jamais perçu le Taï chi chuan comme une pratique de santé mais plutôt comme le kyudo, une sorte de recherche intérieure médiée par une pratique extrêmement codifiée et empreinte de culture. Le judo et l'escalade m'ont appris que la force est dans le mouvement et la voie de la souplesse.
Mes cinq années de taï chi chuan m'ont appris à me focaliser sur l'instant présent, à travers un enchaînement, une gestuelle, empreinte de sens. Cette parenthèse de pratique vient en équilibre avec un métier physique et aux horaires décalés. Ma pratique de la moto est une philosophie de vie, le Taï chi chuan vient s'imbriquer dans cette philosophie, la nourrir et la complémenter. La pratique ne prend pas seulement soin du corps, mais également de l'intellect des énergies et crée un espace d'accomplissement. Pourtant plus on avance dans la pratique, plus on mesure le chemin à parcourir..... de quoi progresser de nombreuses années."
"Le taichi a été une découverte il y a 4 ans et je remercie Monik (clin d'œil à elle qui a pratiqué au club de Roissy).
Énergique et très active, je n'aurais jamais parié au premier abord que cette discipline m'apporterait autant de bienfaits.
Pratiquer m'apporte bien-être et j'ai surtout appris à lâcher prise, et à prendre les choses avec recul. Mon quotidien me prend beaucoup d'énergie et le taichi me permet de ralentir le rythme, de me recentrer sur les choses importantes et de repartir de façon plus efficace."
"Un ami m'avait fait connaître le tai chi chuan et le chi gong il y a 40 ans et des années plus tard, j'ai eu l'occasion de pratiquer. Recherche d'harmonie entre le corps et l'esprit, conscience corporelle, respiration lente et méditation. Bref, je suis un éternel débutant."
" Mon arrivée au taïchi est dûe à un malentendu !
Depuis toute petite, je fais du sport ; athlétisme, course à pied… Vitesse.
Puis tous les sports ; prof d’EPS.
A la retraite, je me dis pourquoi ne pas m’occuper des plus âgés ; et je m’inscris dans une formation d’animateur sportif pour seniors et personnes âgées.
C’est là que le Taïchi se présente à moi. Lors d’une de ces journées d’inscriptions de septembre.
Je rencontre quelqu’un qui me présente cette activité et je me dis « pour les résidents de l'EHPAD ça me semble très adapté ». Je m’inscris donc pour découvrir la pratique et en faire bénéficier les résidents.
Ce qui n’était pas prévu, c’est que j’y prenne goût. Moi qui vais en salle de sport trois fois par semaine et qui ait besoin de m éprouver physiquement, je trouve un réel bien-être à cette pratique.
Une activité qui s aborde simplement, mais qui est en même temps très exigeante.
L’impression de ne jamais savoir vraiment et d’être toujours en situation d’apprendre et de progresser.
Le plaisir d’une activité en groupe où on commence avec tous, on s’appuie sur les autres et on termine ensemble avec le plaisir de la « forme » accomplie.
C’est là que se produit le malentendu, car la pratique du Taïchi n’est pas adaptée pour les résidents, qui pour la plupart ne possèdent plus les capacités d’équilibre, de tonicité et la mémorisation requise. Mais pour moi, je bénéficie d’un moment un peu suspendu où la force et la vitesse n’ont plus de place et où le corps et l’esprit se retrouvent en symbiose avec le groupe."